Bienvenue sur cet arbre généalogique.

33 806 individus, 14 868 familles et 4 818 patronymes sont ici recensés.

Cette généalogie est composée de plus d'un millier de familles liées à Frolois (54), base de la recherche, ainsi que des familles des communes voisines, et s'étend aujourd'hui dans la plupart des régions françaises.

9 408 illustrations (photos, actes, documents, etc...) donnent un aperçu des différents évènements parmi les 63 404 présents.

Une partie concerne les anciennes noblesses lorraines, françaises et européennes. En particulier Anne Marie Joseph de LORRAINE-HARCOURT, qui prit le titre de "Prince de Guise" en 1718, après avoir obtenu du Duc Léopold l'érection de ses terres en Comté, et l'appellation de Guise-sur-Moselle ; Le Marquis de Bissy, qui avait succédé à tous les biens du Marquis DE HARAUCOURT son oncle, lui vendis la Seigneurie d'Acraignes (depuis Frolois), le 22 septembre 1716.

Le Duc de Lorraine Stanislas, par lettres-patentes du 20 mars 1757, éteignit le nom de Guise et érigea cette seigneurie en Marquisat ayant prévôté bailliagère, sous le nom de Frolois, en faveur de Charles-Louis, comte de Ludres.

 

→ Filiation du Prince de GUISE.

→ Maison de HARAUCOURT, dont le Marquis de Bissy a été l'héritier.

→ Erection du Comté de Guise en Marquisat, en faveur du Comte de Ludres.

 

Les individus contemporains ne sont pas mentionnés. Plus d'informations sont disponibles sur demande et la création d'un compte utilisateur.

Vous pouvez demander la rectification ou la suppression de toute mention vous concernant.

 

Si vous avez des suggestions ou des corrections à m'apporter, je suis à votre écoute. Au delà d'un point de vue généalogique, ce site à pour but d'honorer la mémoire des gens disparus.

 

                

 

"Il y a quelque chose de plus fort que la mort. C'est la présence des absents dans la mémoire des vivants."

Jean d'Ormesson

 

Nouvelles
Le vieux berger de Frolois, l’Est Républicain du vendredi 15 avril 1910.
dimanche 12 juin 2022 19:36
Tragi-comique aventure, l’Est Républicain du dimanche 6 novembre 1910.
samedi 14 mai 2022 12:03

Cour d’assises de Meurthe-et-Moselle
samedi 2 octobre 2021 14:49

Audience du 12 novembre 1894

Accusé, Constant-Joseph Bertrand, âgé de 47 ans, ancien instituteur.

Drame à Frolois, L’EST REPUBLICAIN du Samedi 9 Janvier 1909
lundi 5 avril 2021 10:03
La Fête des Eaux de Méréville - Frolois
dimanche 4 avril 2021 13:00

Les personnages célèbres (hors royauté) présents dans cet arbre

XVe

 XVIIe


XVIIIe


XVIII-XIXe


XIXe


XIX-XXe

Raymond PoincaréRaymond Poincaré


XXe


XX-XXIe


 

Mémoires de la Société d'archéologie Lorraine - 1866

FROLOIS (originairement Acraígnes). Moyen âge. Il est parlé de Frolois, sous le nom d'Acraígnes, dès le Xe siècle (D. T.).

Église paroissiale Saint-Martin, du style ogival tertiaire ; plan rectangulaire ; abside pentagonale ; nef à trois travées et deux collatéraux très-étroits (G. de B.) ; voûtes sur liernes et tiercerons ; dans la première travée du collatéral gauche, près du chœur, on remarque, à l’intersection des arcs, quatre écussons chargés des insignes de corporations ; à l'intérieur de la nef, dans le mur latéral de la première travée et à droite de la porte, on remarque, près de la voûte, deux petites consoles qui ressemblent à celles d'un moucharaby ; mais l’existence de ce moyen de défense s'expliquerait difficilement en cet endroit. Pierres tombales nombreuses, dont la plus ancienne est celle d'un curé du lieu, offrant le millésime 1324. Près de la porte, on trouve un bénitier en fonte de fer, ayant la forme d'une cloche renversée avec trois petits pieds, et sur le côté, deux anneaux. En avant du portail, un porche du style ogival tertiaire ; à coté du portail, deux épitaphes avec encadrement ornementé ; l'une, avec inscription gothique effacée en partie, et l'autre, plus moderne, portant la date 1628 ; tour à fenêtres ogives géminées (G. de B.). Sur le chemin de Pierreville, à 200 mètres du village de Frolois, un monument du moyen âge, d'environ deux mètres de hauteur, appelé le Bon-Dieu-de-Pitié, représentant le Sauveur assis, les mains liées, le front ceint de la couronne d'épines : ce monument se compose d'un socle portant la statue, et, en avant, d'une table en forme d'autel.

Ep. moderne. Ruines d'un ancien château qui s'élevait à l’occident du village, près de la ferme qui en dépendait ; on n'y remarque plus guère que les fossés et quelques vestiges des constructions ; ce château, qui existait déjà au XVIe siècle, époque à laquelle on l'appelle maison forte, fut reconstruit et embelli, au commencement du XVIIIe siècle, par Anne-Marie-Joseph de Lorraine-Harcourt, prince de Guise, en faveur duquel la terre et la ville d'Acraignes furent érigées en comté, en 1718, sous le nom de Guise. Il y avait alors halles, auditoire pour la justice, prison, carcan et signe patibulaire (G.). Enfin, ce comté fut érigé en marquisat par Stanislas, en 1757, sous le nom de Frolois, avec prévôté bailliagère et seigneuriale, en faveur de Charles-Louis comte de Ludre et d'Affrique (S.). Il y avait, en outre, dans cette localité, dès le XVIe siècle, les seigneuries de Bassompierre, de Boulach et de Passagard, et, au XVIIIe siècle, deux maisons fiefs et franches, portant le nom de châteaux, dont il reste encore quelques débris (C.). On remarque, dans cette localité, un certain nombre de constructions qui remontent au XVIe siècle et au XVIIe. Près de la fontaine la Valaille, cimetière des pestiférés : on y voyait autrefois une croix.


 

Qui est en ligne
Aucun utilisateur connecté

Les maires de Frolois

Ancien régime

Thomas HASSAIRE (1678) ; Jean VOIRAND (1681-1687) ; Joseph MATHIEU (1700) ; Claude  HASSAIRE (1707) ; Sébastien  MAITRE D'HOTEL (1708) ; Jacques GARAUDEL (1709) ; Didier BREQUIN ; Jean ULRY (1713) ; Nicolas THOMAS (1715) ; Jean Fournier (1716) ; Nicolas JOLAIN (1734) ; Nicolas HUMBERT (1757) ; Jean Baptiste QUERQUELIN (1759)  ; Jean Baptiste EUSTACHE (1765-1772) ; Jean-François MAIGRAT (1772) ; Marc MARCHAND (1774) ; Joseph AUBERT (1776-1786) ; Jean-Claude MAITRE D'HOTEL (1777) ; Joseph COLLOT (1779) ; 

Après la révolution

Joseph MANGIN (1792-1796) ; Louis FELIX (1796-1826) ; Jean COCHAIN (1827-1830) ; Joseph MANGIN (1830-1831) ; Rémy François FELIX (1831-1843) ; Joseph TARDIEU (1843-1846) ; François FORTIER (1846-1847) ; J Baptiste EUSTACHE (1847-1848) ; Charles LALLEMAND (1848-1865 puis 1867-1871) ; Jean-François EUSTACHE (1865-1867) ; Victor FORTIER (1871-1881) ; Charles COLLARD (1881-1888) ; Charles EUSTACHE (1888-1898) ; Alfred BOULANGÉ (1899-1900) ; Maurice BOISELLE (1900-1902 puis 1903-1904) ; Hippolyte VINCENT (1902-1903 puis 1904-1918) ; Charles Justin LALLEMAND (1918-1919) ; Léon Victor FORTIER (1919-1924) ; Prosper BAGARD (1924-1926) ; Victor BALTHAZARD (1927-1944) ; Léon FORTIER (mai à déc 1945) ; Hubert ANTONI (1945-1947) ; Albert MULLER (1947-1959) ; Camille BOUF (1959-1961) ; Siméon ORY (1961-1965) ; Robert HAVIOTTE (1965-1983) ; Francis BOUBEL (1983-2006) ; Claude COLIN (2006-)