Marguerite DEFLIN, 1736–1794?> (âgée de 58 ans)
- Nom
- Marguerite /DEFLIN/
- Prénom(s)
- Marguerite
- Nom de famille
- DEFLIN
- Nom d'usage (après mariage)
- Marguerite /CHOPIN/
Naissance
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Mariage
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Note : "La bénédiction nuptiale leur était donnée par le vicaire du lieu avec « les cérémonies ordinaires en présence du peuple assemblé », et en particulier de Nicolas Chopin, « manœuvre », père du marié, de Vincent Cherpitez, laboureur à Diarville, de Charles Guyot, greffier à Courcelles, et de Jean Deflin, drapier à Diarville, tous trois oncles de la mariée. François Chopin apposait sa signature au bas de l’acte, tandis que Marguerite Deflin, illettrée, y traçait une croix." |
Naissance d’une fille
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Résidence familiale
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Note : "Le ménage Chopin était pauvre. Néanmoins, il put acheter une modeste maison et quelques terres. François Chopin exerçait le métier de charron en même temps que celui de vigneron. Ses compatriotes lui témoignèrent leur estime en lui confiant, durant plusieurs années, les fonctions de syndic de la communauté. Autre preuve de considération : on lui demandait fréquemment d’apposer sa signature, en qualité de témoin, au bas des actes paroissiaux." |
Naissance d’un fils
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Note : "Nicolas, fils légitime de François Chopin, charon, et de Marguerite Deflin, son épouse, est né le quinze et a été baptizé le seise avril mil sept cent soixante et onze ; il a eu pour parrein Jean Nicolas Deflin, garçon de Diarville, et pour marreine Thérèse Chopin, fille de Xirocourt, qui a faite sa marque. Le parrein a signé, Nicolas Deflin ; ┼ marque de la marraine ; P. Leclerc, curé de Barville, commis." |
Naissance d’une fille
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Décès d’une fille
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Naissance d’une fille
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Décès d’une fille
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Roi de France
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Décès de la mère
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Naissance d’une fille
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Famine
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Révolution
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Régime politique
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Régime politique
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Décès du père
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Décès
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père | |
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mère |
1706–1774
Naissance : 1706
Décès : 26 novembre 1774 — Marainville-sur-Madon (88) |
Mariage | Mariage — — |
elle |
1736–1794
Naissance : 1736
30
Décès : 21 août 1794 — Marainville-sur-Madon (88) |
époux |
1738–1814
Naissance : 9 novembre 1738
26
26
— Ambacourt (88) Profession : Charron, vigneron — Marainville-sur-Madon (88) Décès : 31 janvier 1814 |
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elle |
1736–1794
Naissance : 1736
30
Décès : 21 août 1794 — Marainville-sur-Madon (88) |
Mariage | Mariage — 17 janvier 1769 — Diarville (54), Meurthe-et-Moselle, Grand Est, FRANCE |
10 mois
fille |
1769–1845
Naissance : 23 novembre 1769
31
33
— Marainville-sur-Madon (88) Décès : 22 mars 1845 — Marainville-sur-Madon (88) |
17 mois
fils |
1771–1844
Naissance : 15 avril 1771
32
35
— Marainville-sur-Madon (88) Profession : Précepteur, professeur de français — après 1790 — Varsovie Décès : 3 mai 1844 — Varsovie |
22 mois
fille |
1773–1773
Naissance : 28 janvier 1773
34
37
— Marainville-sur-Madon (88) Décès : 17 mai 1773 — Marainville-sur-Madon (88) |
14 mois
fille |
1774–1774
Naissance : 9 mars 1774
35
38
— Marainville-sur-Madon (88) Décès : 19 mars 1774 — Marainville-sur-Madon (88) |
17 mois
fille |
1775–1845
Naissance : 5 août 1775
36
39
— Marainville-sur-Madon (88) Décès : 10 mars 1845 — Marainville-sur-Madon (88) |
époux |
1738–1814
Naissance : 9 novembre 1738
26
26
— Ambacourt (88) Profession : Charron, vigneron — Marainville-sur-Madon (88) Décès : 31 janvier 1814 |
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épouse de l’époux | |
Mariage | Mariage — 17 novembre 1800 — |
Mariage |
"La bénédiction nuptiale leur était donnée par le vicaire du lieu avec « les cérémonies ordinaires en présence du peuple assemblé », et en particulier de Nicolas Chopin, « manœuvre », père du marié, de Vincent Cherpitez, laboureur à Diarville, de Charles Guyot, greffier à Courcelles, et de Jean Deflin, drapier à Diarville, tous trois oncles de la mariée. François Chopin apposait sa signature au bas de l’acte, tandis que Marguerite Deflin, illettrée, y traçait une croix." |
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Résidence familiale |
"Le ménage Chopin était pauvre. Néanmoins, il put acheter une modeste maison et quelques terres. François Chopin exerçait le métier de charron en même temps que celui de vigneron. Ses compatriotes lui témoignèrent leur estime en lui confiant, durant plusieurs années, les fonctions de syndic de la communauté. Autre preuve de considération : on lui demandait fréquemment d’apposer sa signature, en qualité de témoin, au bas des actes paroissiaux." |